Études sur les signes avant-coureurs de l’extrémisme violent

Tout en s’inscrivant dans une perspective historique structurée autour des témoignages et récits des communautés, cette étude vise à identifier, les signes avant-coureurs d’attaques dans les localités.

« C’EST NOUS QU’ON APPELLE LES DJIHADISTES » Étude sur les signes avant-coureurs de l’extrémisme violent dans les régions frontalières du nord de la Côte d’Ivoire

Tout en s’inscrivant dans une perspective historique structurée autour des témoignages et récits des communautés, cette étude vise à identifier, les signes avant-coureurs d’attaques dans les localités ayant ou ayant eu en leur sein des groupes extrémistes violents (GEV) actifs. Et ce, en vue d’en avoir une compréhension fine pour guider stratégiquement les interventions de l’État et du Projet Résilience pour la Paix (R4P), notamment à travers la surveillance de la manifestation ou non desdits signes précoces dans les autres communautés/localités et prendre à temps les mesures idoines. 

Cette étude a consisté en des enquêtes qualitatives faites d’entretiens individuels et de focus group avec les communautés et autres acteurs locaux à Téhini, Zèpou, Tougbo, Môrô-Môrô, Bolé (région du Bounkani) et Kafolo (région du Tchologo), des localités du nord ivoirien frontalières au Burkina Faso. Les enquêtes ont été menées du 27 septembre au 7 octobre 2022. 

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